TEARS OF HOPE (histoire complète et anecdotes) Tears Of Hope est un artiste SkiZoFrenetiK français de pop-folk et Reggae-rock créé en 2011. Tears Of Hope c'est un auteur/compositeur et un line-up amovible à souhait. Devise: AUCUNE BARRIÈRE musicale. Unique objectif: partager. L'artiste s'est fait connaitre avec le premier titre "On the ground", les albums "Acoustic Meetings", "Sem'anza" et l'ep "Electric Meetings".
Sommaire I HISTOIRE 1.1 L'avant-Tears Of Hope (1996–2011) 1.1.1 Cédric Busque 1.1.2 Maxime Benavent 1.2 Formation et débuts (2011–2012) 1.2.1 Cédric et Maryline: le commencement 1.2.2 Enregistrement de "I hope that will pass" 1.2.3 Avec Will Barber 1.2.4 Les premiers concerts 1.2.5 La longue quête pour trouver des musiciens 1.3 "On the ground" (2011) 1.4 "Acoustic Meetings" 1.5 "Electric Meetings" 1.6 Biggz General (Petit-fils de Bob Marley) 1.7 "Pray now" 1.8 SkiZoFoniX production 1.9 Gambeat 1.10 Sem'anza II PRINCIPAUX MEMBRES ET ENREGISTREMENTS 2.1 Membres actuels 2.2 Enregistrements III DECLARATIONS ET ANECDOTES IV STYLE MUSICAL/INSPIRATIONS V DISCOGRAPHIE VI VIDEOGRAPHIE VII COMPILATION VIII REPRISES
I HISTOIRE 1.1 L'avant-Tears Of Hope (1996–2011) 1.1.1 Cédric Busque
Cédric Busque naît le 23 juin 1986 à Narbonne (France). Il grandit dans un milieu modeste à Olonzac, élevé par sa mère, Corinne, et ne connait pas son père. Entouré d’une famille de musiciens : - L’arrière-grand-père Michel Busque à l’harmonica, - le grand-père : Alain Busque à l’accordéon, - l’oncle : Ludovic Busque à la guitare (ou presque) et aux percussions, - l’autre oncle Yannick Busque au piano, - un cousin : Kevin Busque à la guitare et batterie - et un frère : Dylan Busque à la batterie; Bref tous les hommes de la famille.
En 1996, le père d'un ami, Stéphane Cros, fait connaître à Cédric le groupe Metallica. Le garçon (âgé de 10 ans) apprécie tellement le groupe qu'il se met à acheter tous leurs albums et découper dans du carton des guitares pour se les accrocher au cou et se prendre pour James Hetfield. Quelques mois plus tard, il emprunte la guitare de son oncle Ludovic lorsqu’il a le dos tourné. A 11 ans, Cédric obtient sa première guitare, une Peavy Raptor, par celui qu'il considère comme son grand-père Jean Barou. Plus le temps passe et plus il tombe dans le monde de la musique en reproduisant d’oreille ses premiers morceaux : "Wherever I May Roam" et "Enter Sandman" du black album de Metallica ou encore l'album Re-load. Cédric aime déjà découvrir de nouveaux groupes et achète des albums de noms qui lui sont inconnus comme Korn "Issues", Slipknot "Album Eponyme" ou découvre des mythes du rock comme AC/DC avec le live de Donnington ou "Stiff Upper Lip" et Iron Maiden "A Real Live Dead One". L'envie de faire lui-même partie d'un groupe le travaille.
En voyant des groupes locaux qui le fascinent tels que Martos Pikeurs Orchestra, Groovy Shiva, Furaya ou encore Nine Street Arago, l’envie de faire de même devient encore plus forte. Il se lie d'amitié avec Rémi Beteille et Fréderic Rouanet, fans comme lui de ce mouvement pour former le groupe: Six For An Eye (mélange métal fusion à la Limp Bizkit). Cette bonne première expérience lui permet de se faire connaitre du monde de la musique et des concerts, et d’obtenir des contacts dans ce milieu.
D'ailleurs grâce à ses connaissances il rejoint en 2005 un groupe dont il était un fan absolu: Furaya (Fury Hip-hop Hardcore). Un jour, alors qu'il assiste à un concert de Furaya, Jeff Vieu (chanteur du groupe) lui demande s’il ne connait pas de bassiste pour remplacer le leur, Cédric saute sur l'occasion et se propose au poste en prétendant être bassiste ce qui n'est absolument pas le cas. Il doit donc lâcher la guitare pour devenir bassiste. Le soir même il se fait prêter une basse et l'envie est tellement forte qu'en une semaine, il connait tous les morceaux de Furaya. L'expérience dure 7ans pendant lesquels Cédric apprend beaucoup sur le monde de la musique et ses fonctionnements à tous les niveaux avec ses amis Gregory Beyon, Wilfried Chollet (Will Barber), Jeff Vieu, Papaye, Olivier Such, Yohan Lefebvre. Cela lui permet aussi de se forger une bonne expérience scénique puisqu'il a l'occasion de jouer dans de gros festivals sur les routes françaises et italiennes et rencontrer de nombreux groupes (Lofofora, No One Is Innocent, Tagada Jones, Percubaba, MAP, Parabellum, Le Peuple De l'Herbe, Uncommonmenfromars, Troides Priamus Hecuba). Quand arrive le temps du split pour Furaya, arrive aussi pour Cédric le temps de tourner cette page et d'écrire une nouvelle histoire.
1.1.2 Maxime Benavent
Max rejoint Tears Of Hope durant l'été 2011 après que Cédric Busque ait intégré Lee Be Do. Il est surpris d’apprendre que ce dernier n’est pas bassiste mais guitariste. Maxime, alors très intimidé par son manque d’expérience, par le niveau élevé des autres membres du groupe et son manque de culture reggae (très différent du rock pour un bassiste) relève le défi offert par Cédric qui jamais ne cesse de l’encourager et de le rassurer répétition après répétition et enregistrement après enregistrement pour l'emmener toujours plus haut.
Après cinq ans activement au sein de Tears Of Hope, Max prend un repos bien mérité.
1.2 Formation et débuts (2011–2012) 1.2.1 Cédric et Maryline: le commencement
Au début de l’année 2011, Cédric écrit quelques textes et compose des morceaux qu’il pense destinés à rester dans le fond d’un tiroir. En parallèle, il monte un duo de reprises acoustiques principalement de Ben Harper (The Goodfellaz) avec son ami et partenaire de scène depuis maintenant 7ans, Wilfried Chollet (Will Barber). Tous deux sont au chant et aux guitares. De temps en temps, pendant les répétitions, Cédric chante quelques-unes de ses compositions, puis, poussé par les encouragements de Will, il se lance et les joue lors des concerts.
Pendant ce temps, Maryline Lecomte (Malou), 3 ans après sa sortie de la Star Academy en 2008, a pour projet de préparer son album solo. Par le biais d’une amie commune, Nika (qui contribue au 1er album de Tears Of HopeAcoustic Meetings sur les morceaux « We must deal with it » et « Somewhere along the way »), Cédric et Maryline se rencontrent afin d’écrire l’album de Maryline. Finalement c’est Cédric qui l’embarque dans son nouveau projet: Tears Of Hope. Cédric écrit et compose mais n’étant pas très à l’aise avec sa voix, Maryline pose la sienne en duo. Assez vite ils décident d’enregistrer dans le studio d’un ami, Antoine Rebora (Natis / Kenly & Antoine), et voilà donc le tout premier morceau de Tears Of Hope qui voit le jour : « I hope that will pass ». Depuis, Maryline Lecomte, quant à elle, enchaine les spectacles de comedie musicale, notamment La Reine des Neiges en attendant d’enregistrer son propre album dans un style mêlant Pink et Superbus.
1.2.2 Enregistrement de « I hope that will pass »
Peu de temps après avoir fondé le groupe et avoir formé un duo avec Maryline Lecomte, Cédric et elle, enregistrent un premier titre acoustique « I hope that will pass » chez Antoine Rebora (Natis / Kenly & Antoine) à Narbonne. Il est terminé et pré-mixé en une journée mais n’est jamais mixé complètement. Cette version comprend deux guitares rythmiques, une mélodique et les voix de Cédric et Maryline. Cédric étant gêné par sa voix, celle-ci est sous mixée tandis que celle assurée et pleine de talent de Maryline est mise en avant.
Un deuxième morceau doit être enregistré pour la sortie d’un deux titres pour pouvoir démarcher mais le manque de temps d’Antoine en décide autrement. Donc un seul morceau, pas entièrement mixé, voit le jour.
L’enregistrement se fait entre une chambre et un salon avec uniquement un micro d’ambiance et un mac. Cette façon d’enregistrer devient ensuite une marque de fabrique.
1.2.3 Avec Will Barber
Wilfried Chollet (alias Will Barber) (anciennement bassiste du groupe Stalfish) et Cédric se rencontrent lors des débuts de Furaya dans un style Hip-hop Hardcore aux côtés de Jeff Vieu, Gregory Beyon, Gonzo et Seb (ces deux derniers ne restent pas longtemps, rapidement remplacés par Cédric Busque et Olivier Such lui-même remplacé par Papaye). Après 10 ans d'existence, le groupe split. En 2011, Will et Cédric tournent la page ensemble en prenant un virage à 180 degrés en créant The Goodfellaz (reprise folk en grande partie de Ben Harper). Ils démarrent cette nouvelle aventure en duo et rejoints plus tard par Maxime Benavent et David Cebe du groupe Lee Be Do. Wilfried ne fait plus aujourd’hui partie intégrante de Tears Of Hope mais reste un proche. D’autre part Will participe au premier album acoustique de Tears Of Hope Acoustic Meetings en faisant un featuring sur le morceau « But I keep smiling » avec sa guitare slide.
The Goodfellaz devient une réelle vitrine pour les deux artistes: Will Barber et Tears Of Hope. Le duo partage son set entre les compositions de Will, celles de Tears Of Hope et les meilleures reprises de The Goodfellaz. Le groupe The Goodfellaz fait sa dernière date le 25/10/13 à Gruissan (Pheobus). Will Barber se fait remarqur dans l'émission The Voice avec une reprise de Another brick in the wall et sort son premier EP "Alone" en 2018 dans un style proche de Ben Harper.
1.2.4 Les premiers concerts
Tears Of Hope (au début le duo de Cédric et Maryline) profite des concerts de The Goodfellaz pour faire quelques compos. Ainsi, le premier concert se déroule le 23 Juin 2011 (jour de l’anniversaire de Cédric) au Charly’s Bar à Saint-Pierre La Mer. Ce jour-là, 4 compositions sont ajoutées aux reprises de The Goodfellaz: « I turn around », « They told me », “We must deal with it » et « I hope that will pass ». Petit à petit les concerts s’enchainent pour The Goodfellaz et donc pour Tears Of Hope et de plus en plus de nouvelles composistions viennent gonfler le répertoire de The Goodfellaz. Les groupes trouvent quelques contrats dans la région ; ce qui remplit le calendrier jusqu'à la fin de l’année. Pendant ce temps, Maryline s’éloigne de Tears Of Hope pour se consacrer à un orchestre de bal. Maryline et Cédric gardent tout de même le contact et font d’ailleurs deux featurings sur l’album Acoustic Meetings sur les morceaux : « They told me » et « I hope that will pass ».
L’aventure Tears Of Hope se poursuit donc en duo (Cédric et Will Barber) mélangeant les reprises de Ben Harper, les compos de Cédric (Tears Of Hope), et celles de Will. N’ayant pas assez de compositions pour travailler en solo, les deux artistes réunissent leurs chansons en attendant de pouvoir être indépendants. Ils forment The Goodfellaz.
Durant l’été, Cédric rassemble assez de monde pour l’accompagner dans le projet Tears Of Hope & All The Band (une formation reprenant ses compositions mais avec plusieurs musiciens). Depuis ce jour il existe plusieurs formations toujours aléatoires de Tears Of Hope : acoustique (comme au début), électrique (plus festive), sound system etc... Dans tous les cas le line-up n’est jamais le même selon les besoins et les envies. Les premiers concerts de Tears Of Hope en tant qu’artiste indépendant, arrivent cet hiver-là. Le premier a lieu le 21 septembre 2011 sur le cours Mirabeau à Narbonne pour la journée mondiale de la paix organisé par l’U.N.E.S.C.O. (Une version All The Band sans batterie). Ce jour-là, All The Band est composé de Titouan Billon au piano, Maxime Benavent à la basse, Alexis Bogdanovitch à l’harmonica et au saxo, Mustapha Mahdaoui aux percussions et bien sûr Cédric au chant et à la guitare. Le second concert estampillé All The Band se déroule au Stade de Narbonne pour l’avant match de rugby Narbonne - Grenoble devant 4000 personnes. Cette fois le set comprend 10 morceaux et un All The Band plus conséquent (8 personnes) avec Clara Gruber et Lisa Rochelle aux chœurs, Wilfried Chollet (Will Barber) à la guitare, David Cebe à la batterie et toujours Titouan au piano, Maxime à la basse, Mustapha aux percussions et Cédric au chant et à la guitare.
Entre temps, Tears of Hope entre en studio pour enregistrer un premier morceau en version All The Band : « On the ground » accompagné d’un clip et d’un making of de 40 minutes.
1.2.5 La longue quête pour trouver des musiciens
Fin d’été 2011, Cédric décide de monter la version All The Band de Tears Of Hope en s’entourant de divers musiciens. Beaucoup de monde font donc partie du projet, certains passant en coup de vent comme Alexis Bogdanovitch, Wilfried Chollet (Will Barber), Cyrille, Delphine, Lisa Rochelle, Michael Sourd, d’autres restant plus longtemps et faisant vraiment partie de l’histoire Tears Of Hope comme : Titouan Billon (Du Bartas), Mustapha Mahdaoui, Clara Gruber, Jean Louis Kubski (Les Sols Cirés), Emilie Morrier, Mickael Riffaut (Snaf), David Cebe (Jam Rock), Antoine Miquel et Maxime Benavent. Reste le noyau dur du groupe : Cédric Busque. Il y a, bien sûr, des essais non concluants, et quelques intervenants exceptionnels.
Devant un tel florilège de musiciens qui n’ont pas le temps de continuer l’aventure, de personnes pas sérieuses, de grosses têtes et autres… Tears Of Hope se projette dans un format tout à fait aléatoire et ne cherche plus vraiment de musiciens attitrés mais décide de fonctionner plutôt comme un line-up amovible où viennent se greffer au noyau dur, Cédric, d’autres musiciens selon les besoins sur une période donnée. Cédric accueille avec plaisir tout musicien qui souhaite faire partie de l’expérience mais n’en est pas dépendant. Au gré des arrivées et départs comme ceux de membres importants tels que Michael Riffaut remplacé par Antoine Miquel ou encore David Cebe, Tears of Hope créé en 2015 une version Sound System notamment lors de la tournée Espagnole.
1.3 « On the ground »
Tears Of Hope accompagné de son All The Band entre en studio en Octobre 2011 pour y enregistrer son premier morceau sous cette formation : « On the ground ». L’enregistrement se fait directement dans leur salle de répétitions à Saint-Nazaire d’Aude avec Samuel Debout (guitariste de Lee Be Do et ingénieur du son de Soundlife).
Pour la petite histoire, Alexis Bogdanovitch, alors saxophoniste du groupe, décide la veille de l’enregistrement de quitter le projet pour plusieurs raisons dont une qui aujourd’hui est anecdotique : il ne sent pas Tears of Hope prêt à enregistrer ce morceau et trouve ridicule et risqué (niveau qualité du son) d’enregistrer dans la salle de répétition délabrée et non pas dans un vrai studio.
A chaque fois que Cédric a le plaisir d’entrer en studio, il n’y a jamais personne pour immortaliser ces souvenirs merveilleux. Cette fois, on ne l’y reprendra pas. Il décide de filmer les 2 jours d’enregistrement pour en garder une trace. Pol (propriétaire du local d’enregistrement) lui présente un ami cameraman, Bernard Losfeld (Kinéole production) qui arrive avec un matériel impressionnant. A cette occasion est réalisé un Making of de 40 minutes et un clip du morceau, tous deux disponibles sur YouTube). Bernard Losfeld sait capter l’ambiance et le fonctionnement de Tears of Hope à la perfection. Ce Making of n’en est pas vraiment un mais présente plutôt Tears of Hope dans sa façon de penser, de faire, de créer. Des moments de réflexion, des moments d’amusement ponctués par des commentaires post expérience.
Samuel enregistre en premier Cédric à la guitare rythmique puis la voix fantôme. La voix fantôme est une piste chant, censée donner des points de repères aux autres musiciens quand vient leur tour. Une voix fantôme est généralement effacée et refaite une fois que tous les instruments sont en place, pour faire une piste plus appliquée. Finalement, aucun chant n’est refait. La piste chant de ce morceau est la piste fantôme faite en une seule prise et non retouchée. Ensuite, la batterie entre en jeu et David fait ce qu’on appelle un one-shot : il enregistre sa partie en une seule prise. C’est pour cela que David n’est pas présent dans le Making of, le cameraman n’ayant pas eu le temps d’arriver et de s’installer. De nombreux moments de rigolades et de bonne humeur marquent ces deux jours et sont visibles dans le making of. Parmi ceux-là, les chœurs de Maxime, qui le dit lui-même n’est pas chanteur mais bassiste, donnent des éclats de rire à la troupe. Difficile de chanter, qui plus est en anglais. De grands moments musicaux aussi, comme la composition des mélodies et solos au piano. Titouan fait une dizaine de solos plus fous les uns que les autres mais Cédric le pousse encore et encore car comme il dit dans le Making of « Je ne pouvais pas me contenter d’une seule prise parce que Titouan à un tel talent (…), je sentais qu’il pouvait faire mieux ». Clara, toute timide vient illuminer la fin de soirée avec ses chœurs. Les chœurs de Lisa Rochelle, la 2ème choriste sont enregistrés le lendemain. Pour l’anecdote, un gros problème de placement voix persistant depuis ses débuts pousse Tears of Hope, quelques semaines plus tard, à se séparer d’elle. Sa voix a été retirée de l’enregistrement dans un souci de qualité, mais Lisa apparait néanmoins dans le clip. Will Barber entre en jeu à la guitare. (Il faut savoir que, à ce moment-là, Will ne connait pas ses gammes et fait tous les solos à l’oreille, là est son point fort car il a un incroyable sens de la musique et du son). Mustapha Mahdaoui vient conclure aux percussions ces deux jours avec bonne humeur et sagesse. Le plus incroyable est que la veille, Mustapha perd sa maman et malgré ça, il est là pour enregistrer ses prises avec une réelle grandeur d’âme.
Tout l’enregistrement se déroule là où Tears of Hope répète : un atelier de menuiserie dans un grand domaine avec un jardin gigantesque (d’où provient la pochette de l’album Acoustic Meetings) et une rivière qui passe juste à côté… bref, vraiment un endroit très agréable.